J’ai commandé mon MacBook Pro aujourd’hui.
Comme je profite d’un service de retenue sur la paye pour acheter ledit bijou, je dois attendre que mon employeur reçoive le tout, car ainsi va la procédure. Mon employeur ferme ses bureaux du 14 au 29 juillet, alors j’espère que le 1 to 2 weeks to shipping (temps requis AVANT que l’ordinateur se retrouve dans un quelconque moyen de transport – m’a-t-on gentiment expliqué) sera plus près du 1 semaine que du 2 semaines, car sinon, ça va être serré dans les délais.
Depuis le temps que j’en rêve (Ça faisait déjà longtemps quand j’ai écrit ceci, alors c’est tout dire !), j’imagine que la satisfaction n’en sera que meilleure. Ah ! le désir créé par l’attente : un concept un peu oublié de nos jours alors que tout peut s’acheter instantanément ou presque, sauf si le budget n’est pas au rendez-vous ou que des priorités sont apparues dasn un autre volet budgétaire…
Ah oui, pour les intéressés, j’ai commandé la version de base, alors qu’avant la dernière mise-à-jour des produits chez Apple, je penchais plutôt pour le modèle dit «milieu de gamme des MacBook Pro». C’est que, entre-temps, les caractéristiques ont très bien évolué sur le modèle de base. Donc, pour moins cher, j’obtiens plus : parfois payant d’attendre, mais rarement en informatique, alors je profite du momentum.