Moulin à images

Après le spectacle de mardi dernier, l’occasion était trop belle de rester un peu plus longtemps sur le site d’Espace 400e et de voir la projection Le Moulin à images de Robert Lepage.

Évidemment, comme beaucoup l’ont dit avant moi, c’était absolument époustouflant. Juste la technologie derrière tout ça, pour permettre la fluidité des images projetées, après tout, que sur de vulgaires silos à grains (ceux de la Bunge), juste ça a quelque chose de phénoménal. La synchronisation des images et du son dans un environnement aussi vaste a de quoi impressionner. Bravo à toute l’équipe de Robert Lepage qui ont déployé toute leur ingéniosité afin de réaliser le chef-d’oeuvre qui a germé dans la tête de ce fameux créateur qu’est Lepage.

D’ailleurs, l’oeuvre, comme n’importe quel produit de l’imagination fertile d’un artiste, peut souvent être interprétée sur plusieurs niveaux. La fresque historique dont nous fait part Robert Lepage comporte de multiples éléments… pas nécessairement tous compris du premier coup, à moins de posséder un bagage culturel et historique hors du commun de nos jours*… Tout comme les silos de la Bunge qui se dressent sur une largeur de 600 m devant nous, l’oeuvre de Lepage embrasse large ! Il faut donc la revoir plus d’une fois, à mon avis.

Voici une photo de la scène avant l’événement, puis deux GIF animés de source malheureusement inconnue que quelqu’un m’a envoyé par courriel récemment.


Moulin a images 1
Cliquez sur l’image pour la voir dans son entièreté.

Moulin a images 2
Cliquez sur l’image pour la voir dans son entièreté.

Alors si vous n’avez pas encore vu cet événement, ne le manquez surtout pas : ça en vaut vraiment la peine.

*À ce propos, une version avec sous-titres explicatifs devrait être produite pour nos écoles…

L'ennemi du lys…

Pour faire suite au billet de Missmath sur le criocère du lys, cet insecte parasite de nos beaux lys qui ornent si bien une platebande, je publie les photos promises alors. (Cliquer dessus pour agrandir un peu)

Vue d’ensemble d’une platebande dévastée (Ce n’est pas chez moi !)
Quelques spécimens de plus près, qui se disputent la bouffe qui reste !

Enfin, un exemple du ravage causé sur les feuilles de la plante…

Cet insecte est vraiment l’ennemi des amateurs de lys. Comme il n’a aucun prédateur, l’humain doit se charger de faire régulièrement le tour de ses platebandes en juin et début juillet surtout, afin de tuer les spécimens visibles et quelques autres cachés sous certaines feuilles. Le reste, comme on peut le lire dans la page en lien plus haut, se cachera dans le sol à la mi-été pour y passer tout l’hiver.

Québec, je t'aime !

Comme d’autres l’ont dit avant moi : bonne fête Québec ! 🙂

Depuis près de 23 ans que je t’ai adoptée (ou plutôt que tu m’as adopté), que je vis en ton sein, que j’y suis heureux, que j’y parcours tes rues, que j’y admire tes si beaux édifices, que j’y assiste à des spectacles à l’occasion, que j’en fais quelques uns à quelques occasions (pas assez à mon goût, mais ça, c’est pour ma retraite dans … longtemps), que j’y accumule de bons souvenirs, que j’y connais d’excellents amis, que j’y bâtis mon avenir, … … …

Depuis 400 ans que tu existes, que tu vis, que tu te transformes au gré de tes artisans, de tes bâtisseurs, … … …

Bonne fête Québec ! J’ai le goût d’y rester encore longtemps, et d’y oeuvrer à ma mesure, bien modestement 🙂

Source de la photo d’origine : National Geographic.

Petite planète… et confitures !

Hawaïenne
Il m’rest’pu de con-fi-ture
hawaïenne…

air connu…

Hier matin, je vidais un banal petit pot de confiture… à base de fruits de la passion. Pas trop sucrée, comme je les aime. Petit pot rapporté d’une visiteuse à son retour d’Hawaii, où elle avait rejoint sa fille, alaskienne d’adoption pendant les 5 dernières années, maintenant trifluvienne depuis quelques jours à peine (Ça va faire plus près pour aller visiter ces amis-là !). (Ceci va aussi m’occasionner la perte d’un piano, qui fut mien pendant les 5 dernières années : j’y reviendrai plus tard…)

Sur le petit pot de confiture, une simple adresse courriel. Pas de site Internet. Qu’à cela ne tienne : petite recherche quand même pour savoir qui est cette Mikie et ses créations vendues à plus de 8000 km d’ici.

Voici les résultats :
Mikie est basée à Hilo et on en parle sur ce blogue : c’est ici.

Voici maintenant la photo :