Et voilà ! Fini le temps des corrections ! Youppi ! Enfin ! Joie ! Bonheur ! La période d’esclavage est terminée ! Les résultats sont compilés, les bilans terminés (à part quelques menus détails qui devront attendre à demain, puisqu’il me faut être à l’école pour compléter quelques détails dans très peu de “dossiers”)
Je sais que la correction, ça fait partie de la job, comme on le dit si “bien”, mais quand ça se termine, ça fait toujours le même effet : un immense poids qui s’en va des épaules d’un seul coup. Tellement soudain comme truc qu’on a l’impression, parfois, que les épaules se mettent à se soulever dans les airs, comme ça, tout seul… Effet de légèreté assuré ou argent remis !
Ceci dit, je ne suis pas en vacances… Il reste quand même les sempiternelles réunions (fort ou trop nombreuses, c’est selon) dans les prochaines journées… ainsi qu’un peu de ménage qui s’impose (QUI S’IMPOSE, devrais-je écrire en majuscules !)
Et après ça, je ne serai toujours pas en vacances, mais plutôt en convalescence : comme le disait si bien Sylvain Lelièvre, lors d’une entrevue jadis à un talk-show coallien bien connu à une certaine époque, alors qu’il enseignait le français au Collège Maisonneuve, «les profs n’ont pas 2 mois de vacances, mais bien un mois de convalescence suivi d’un mois de vacances» : j’avais adoré cette phrase, car, à l’époque, je commençais à peine dans le métier et je me faisais régulièrement “écoeurer” avec cette affirmation qui a la couenne dure dans l’opinion publique…
De toutes façons, y a-t-il quelqu’un qui a déjà trouvé un interrupteur pour mettre à la position OFF un prof ? En tout cas, moi, je ne l’ai jamais trouvé.
Si tu trouves l’interrupteur, tu nous en feras part.. Je suis certaine que ça serait utile pour plusieurs!
J’ai des collègues qui ont l’interrupteur à “OFF”, je pourrais leur demander de nous indiquer où il est situé. Je crains cependant qu’ils ne le savent pas non plus, puisque j’ai l’impression qu’ils ne le mettent jamais sur “ON”…
C’est génial ça, Sylvain; t’es presque en vacances!
missmath
Trop drôle ton commentaire: je pense qu’on en a tous des collègues qui ne trouvent pas l’interrupteur! 🙂
Missmath : j’ai pensé écrire ça, mais je me suis retenu ! J’veux pas finir comme M. A.
Hortensia : ce sera complètement le cas aujourd’hui, après une ou deux babioles à régler et une réunion de département sans ordre du jour jusqu’à maintenant !