Voyage en vue…

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Les billets sont achetés. Nous aurons la chance d’aller visiter nos amis en mars prochain. Ils séjournent, comme je l’ai déjà dit, en Martinique pour un an (il leur reste environ un peu plus de 7 mois). Leurs premiers visiteurs sont là-bas ces jours-ci. Nous nous sommes parlés hier, toujours grâce à Skype !

Me reste donc environ 3 mois à attendre, ainsi qu’attendre le prochain compte de ma carte de crédit…

Note : Image réalisée avec ImageChef 😉

Ét-OUF-fant, ce matin !

Ce matin, en arrivant dans la salle des profs : oh vision étouffante et noire, juste avant d’allumer les néons… soit ceci ! Immense rideau blanc bloquant la lumière… C’est toujours comme ça environ deux ou trois fois par hiver, jusqu’à ce que l’équipe d’entretien déneige ce toit “bien placé par rapport aux vents dominants…
Mais à ce temps-ci de l’hiver (pardon, automne encore pour 4 jours, eh oui), jamais !


MISE À JOUR : 2007-12-17–14h32
…Mais un peu moins étouffant cet après-midi.
Vues à partir des fenêtres de ma classe…
Excusez la piètre qualité des photos, mais comme vous pouvez voir sur la première de toutes, elles ont été prises avec la webcam de mon portable, puisque je n’avais pas mon appareil photo numérique sous la main 😉

Chanter en (très grand) groupe !

Hier après-midi, plusieurs choristes et autres spectateurs se sont réunis en l’église St-Jean-Baptiste, à Québec, pour chanter tous en choeur avec Gregory Charles et son Collège vocal de Laval, le tout accompagné par l’organiste Sylvain Doyon et un ensemble de cuivres et percussions.

L’événement, appelé «sing along» en anglais (aucun équivalent français connu, je crois), se veut une sorte de happening vocal où les spectateurs (souvent choristes) chantent tout le concert, et ce, sans aucune pratique préalable.

Expérience agréable en tous points. Encore plus quand nous nous sommes fait demander si nous connaissions un extrait de l’Oratorio de Noël de Camille Saint-Saens (Tollite Hostias). Tous les choristes ayant répondu par l’affirmative ont été invités à monter sur scène, pour se joindre au Collège vocal déjà en place et ainsi chanter plus près des instruments. Un petit délice pour les oreilles 🙂

Par la suite, étant donné la lourdeur temporelle du déplacement, les choristes d’une seule chanson ont été obligés de rester sur scène jusqu’à la fin du concert : il restait 3 ou 4 chants.

Chanter en groupe peut paraître quétaine ou moumoune, selon les mots mêmes de «Greg», mais c’est une activité très complète en soi. De par le fait qu’elle est musicale d’abord (y a-t-il une activité plus complète que la musique ? 😉 ensuite par le fait qu’elle mobilise tout l’individu. Étant peu entraîné à chanter (je suis principalement musicien dans mes activités musicales, et non chanteur), je peux dire aussi que le chant, ça fait travailler assez substanciellement certains muscles !

Le concert fut enregistré par la SRC et sera diffusé sur les ondes d’Espace-Musique le 24 décembre à 16h00, en reprise à la Première Chaîne le 25 en avant-midi (je ne me rappelle plus de l’heure : sera ajusté sous peu).

MISE À JOUR : 2007-12-17–12h53
Correction pour l’horaire : le 24 décembre, c’est à 16h00 à Espace-Musique.
Le 25 décembre, à la Première Chaîne, c’est à 19h00.

Quelques nouvelles… et de la neige à la pelle !

Escapade musique en fin de semaine : générale et concert. Ça occupe pas mal 😉 Mais c’est très agréable, cette soupape d’évacuation des tourments quotidiens qu’est la musique !

Pendant ce temps, mes fils RSS se remplissent trop rapidement : plus de 200 non lus : ouf !

Réveil dans la tempête lundi matin : ma Commission scolaire ferme ses écoles, une exception qui confirme la règle voulant qu’en ville, on ne ferme jamais les écoles, ou presque !

Tempête d’émotions en lisant le billet de François, ce collègue très apprécié…

Depuis hier, on en a reçu, de cette neige encore blanche (jusqu’à ce que les abrasifs routiers la rendent brunâtre à souhait : eurk !). Ce matin, c’était le temps d’observer, de regarder vivre les gens qui se dépêtrent avec les éléments naturels, qui s’entassent presque au milieu des voitures, attendant un autobus qui arrivera très en retard à coup sûr, qui déblaient leur entrée engorgée par la charrue (casse-neige québécois) qui voulait faire un petit peu de place aux automobilistes sur la voie principale… J’ai eu tout le loisir d’observer ce matin, dans ma voiture qui faisait du surplace (hello les polluants en quantité industrielle !) Trajet total de 28 km, en deux parties. Un premier “tronçon” de 18 km, parcourus en 50 minutes : pas si pire. La deuxième partie fut épouvantable pour quiconque était pressé. Heureusement, ce n’était pas mon cas… Plus de 80 minutes pour parcourir une dizaine de kilomètres, ça fait dans les 7,5 km/h. J’aurais donc bien aimé que ma voiture soit pourvue d’un dispositif arrêtant le moteur dès qu’on fait du surplace, i.e. la majorité du temps ce matin. Je l’ai quand même fait (arrêter le moteur), de temps en temps, manuellement…

Puis je me suis mis à imaginer un système de feux de circulation (qui sont normalement – j’ai bien dit normalement, car il y a trop d’exceptions – synchronisés) qui ajusterait la synchronisation selon les conditions routières et la vitesse de démarrage des véhicules aux coins des rues : sur la neige, plusieurs véhicules patinent un peu (certains trop, mais c’est une question de conducteur ici), ou démarrent très lentement sur surface glissante… Il me semble qu’avec toutes les technologies que nous avons, on pourrait à coup sûr simuler de telles conditions dans l’élaboration de systèmes plus intelligents. Je rêve ?

Source image : ici.

Soirées de bénévoles se suivent, mais…

…ne se ressemblent pas du tout !

Je fais partie d’un organisme, dans une municipalité (qui n’est pas celle où je paie mes taxes…), où on récompense un bénévole par organisme, question de souligner le travail que ces gens font sans relâche, souvent depuis plusieurs années, et ce, bien sûr, tout à fait gratuitement.
L’an dernier, dans l’ordre chrono, nous avions eu droit à un cocktail dînatoire (quelle expression : ça me frappe chaque fois que je l’entends…) aux très (trop, en fait, car il avait fallu aller souper pour vrai après la soirée…) parcimonieuses bouchées d’un goût par contre très exquis. Le tout se déroulait dans une salle à la section principale un peu trop petite, ce qui fait que des gens, dont nous, s’étaient retrouvés dans une deuxième section…
Par la suite, nous nous étions transportés dans l’auditorium de l’endroit, pour la traditionnelle remise des prix aux bénévoles choisis par chacun des organismes. Et enfin, le plat de résistance, un spectacle de l’humoriste-hypnotiseur Messmer, qui nous avait littéralement subjugués, tout en nous faisant régulièrement crouler de rire !
Cette année, la soirée se déroulait au complexe municipal, dans la grande salle du style gymnase : murs de blocs de béton archi-réverbérants, plafond démesurément haut, basses fréquences qui roulent à travers (au sens propre) les quelque 300 personnes présentes. Le goûter était plutôt froid (buffet). Moins de bouchées fines, mais la quantité était au rendez-vous cette fois…
Le spectacle, par contre, était assez pénible. Il eût fallu posséder un taux d’alcool supérieur à l’actuelle limite permise pour probablement apprécier, ou simplement ne pas avoir d’oreille !
Sébastien Gagné se veut humoriste-imitateur. Le spectacle d’une heure était une suite de petits extraits d’imitations chantées, avec une trame sonore qui finissait 95% du temps en fade out. Plutôt navrant. Ça faisait : «Je fais jouer un fichier MIDI, je chante par dessus, et je baisse le volume après un couplet, car il faut passer à autre chose.» Si la fin des trames sonores avait été arrangée pour avoir l’air de finir à cet endroit précis de la “toune”, c’eût été beaucoup mieux. 
Pour les deux ou trois premières lignes des extraits présentés, l’imitateur était assez bon dans l’ensemble, mais pas toujours (Deux fois Elvis de suite, alors que le premier se voulait être Roy Orbison !). Souvent, l’imitation prenait le bord et l’imitateur décrochait avant d’avoir fini son extrait. Pas terrible ! De plus, à peu près toutes les transitions (parlées) entre les extraits tombaient à plat, manquaient de fini, cassaient le rythme constamment. Le rythme en humour, c’est presque l’ingrédient numéro un. 
Bref, je n’ai pas aimé en général, à part peut-être l’imitation de GIlles Vigneault et les notes aigües assez justes (pour un homme encore plus) de Provocante.
Si on veut résumer en paraphrasant presque le protagoniste : 300 livres de viande (il se dit gros lui-même), c’est dur à faire décoller… comme son spectacle ! Bien sûr, la piètre qualité sonore ne peut tout expliquer à elle seule. M. Gagné aura donc beaucoup, beaucoup de travail sur la planche s’il veut mieux réussir sur les planches…