Dans sa chronique en page 2 du Soleil d’aujourd’hui (pas l’astre qui est enfin de retour, mais le journal ;-)) François Bourque citait quelques uns de ses étudiants en communications à l’Université Laval…
Parmi les phrases citées, j’ai retenu celle-ci : (il y a le) «mal de vivre et le mal de voir vivre heureux».
Selon moi, ce sont les deux maux les plus répandus et les plus sournois, car difficiles à diagnostiquer, parfois à identifier…
Une autre phrase, de Gilles Vigneault celle-là, toujours citée dans la chronique : «La violence est un manque de vocabulaire». Quelle lucidité à propos de l’être humain et de son histoire (ou de ses histoires) !