Cet après-midi, j’ai pu assister à la conférence de deux grands explorateurs, Mélanie Carrier et Olivier Higgins, qui ont parcouru 8000 km en vélo en 2005, de la Mongolie jusqu’en Inde, en passant par la Chine, le Tibet et le Népal. Durée : un peu plus de 6 mois.
De grands moments, de joie, de détresse, de découragement, de fatigue, de douleurs… et de bonheur. Et des paysages à couper le souffle !
Une question m’est venue à l’esprit en les entendant nous raconter leur périple et nous faire découvrir leurs émotions et réflexions : pourquoi l’humain doit-il aller si loin pour trouver quelque chose de si près, en-dedans de lui, le bonheur ? Beau paradoxe de la nature humaine…
P.S.: Leur site est ici.
Dans ce cas-ci, je suis partièllement daccord avec toi sauf que parfois, nous ne sommes pas obligés d’aller si loin pour se retrouver : les chevreuils dans le parc en face de chez moi contribuent grandement à mon bonheur quand je m’adonne d’en croiser sous un pluie fraiche alors que tout l’monde est encabanné dans leur chaumière peur de se faire tremper..
C’est vrai Isabelle qu’on n’est pas tous obligés. Ma question était mal formulée : désolé sincèrement, je suis ! (Pour sonner Yoda un peu 😉
La pluie : un autre mystère de la vie : pourquoi beaucoup de gens refusent systmatiquement de s’y laisser mouiller. On n’est pas en chocolat… disait ma grand-mère, avec raison !
Je ne sais pas mais tant mieux pour moi.. quand je suis dans l’bois, je file “sauvage”..
mdrrrrrr
Un morond qui fume sa cigarette pis qui boit sa canisse de pepsi dans l’bois, pas capable..
Mon p’tit bonheur se trouve dans la maison ici et c’est une joie à tous les matins de voir les enfants. Donc me mettre dans le trouble pour me découvrir, pas tellement mon genre!
C’Est pt juste pour tester ses limites, ses capacités, de voir ou ce qu’il peu aler. C’Est pt ça ds lfond le bonheur. C’Est le principe même du voyage…