Compost : oui (mais)

Ça va faire maintenant un an que nous avons un bac à compost chez nous et, ma fois, c’est très bien ainsi ! La ville de Québec nous en a remboursé la moitié, quelques semaines après l’achat, sur présentation de la facture (Ça aussi, c’est très bien!). Nous pouvons de plus posséder un deuxième bac par résidence familiale, ce dont nous n’avons pas besoin pour l’instant, mais qui pourrait bien devenir nécessaire dans le futur.

Ceci dit, pas assez de gens compostent leurs déchets domestiques, selon moi. Il parait (entendu quelque part, mais pas noté!) que jusqu’à 50% des déchets que nous produisons sont compostables. Depuis l’achat de notre bac à compost, chez moi, nous avons vite constaté une diminution du volume de déchets présents dans le «bac à vidanges». Et en plus, nous avons pu utiliser ce compost dans le potager et dans les plates-bandes, ce qui n’est pas négligeable non plus.

Le petit «mais» entre parenthèses dans le titre, c’est à propos des ours dans la région de Gatineau qui, ces temps-ci, sont de plus en plus aventureux près des résidences. Paraitrait que les bacs à compost sont une DES sources d’attirance possible…

Le cyclisme d'élite, un sport ?

Avec les «nouvelles» (Voir 1, 2 et 3) qui tombent à la volée ces jours-ci à propos du Tour de France (J’ai failli écrire, grâce à une faute de frappe, Trou de France, c’est tout dire – un lapsus des doigts, donc digital, vous connaissez ?), avec toutes ces nouvelles, donc, on peut se poser la question à savoir si le cyclisme d’élite n’est pas devenu un concours de celui qui offrira la meilleure performance à l’aide de substances (ou drogues, pour dire le vrai nom), et ce, sans se faire prendre.

Je jonglais à cela ce matin en écoutant les nouvelles, bien tranquillement assis, quand, un peu plus tard, je tombe sur ce billet de Mario Asselin.

Récemment, à St-Félicien, on jasait du phénomène du dopage dans le cyclisme probablement très présent chez les élites qu’on avait devant nos yeux ce jour-là, pendant la Coupe du Monde de Cross Country, vélo de montagne.

Ça commence subtilement : on commence par prendre des suppléments alimentaires, tout ce qu’il y a de plus naturel, enfin presque. Puis vient le temps où, si on a monté les échelons, on est rendu au niveau où l’argent, le gros (le vrai ?) se brasse beaucoup plus, avec les inévitables passe-passes politiques qui accompagne le tout… Et avec ce niveau, viennent les drogues et alors on parle de dopage.

Quelle est la différence entre des suppléments augmentant la performance et les drogues condamnables ? C’est la question que je me pose tout en ayant une petite idée de la réponse. Mais il n’empêche que le principe demeure : on cherche une meilleure performance en absorbant certaines substances. Où est la frontière entre le légal et l’illégal, entre l’admis et l’inadmissible ? Pensez-y en prenant votre café, le matin, en commençant votre journée de travail…

Et n’allons pas croire que le cyclisme a l’exclusivité de la drogue dans les sports, loin s’en faut. L’Olympisme en général est pas mal éloigné de son idéal. Et je ne parle même pas des mécanismes de sélection (ou prostitution) des villes olympiques…

Voilà, c'est fait !

Comme je l’avais déjà dit il y a quelques mois, nous avons bel et bien ajouté à notre État des routes, l’État des infrastructures au Québec (Fichier PDF).

Cette liste des 135 viaducs, à laquelle s’ajouteront les structures dites municipales, représente ce que bien des Québécois craignaient dès octobre 2006, à la suite de l’effondrement du viaduc de la Concorde. Ces “détours forcés” vont passablement compliquer pour un temps l’industrie du transport routier. Favorisera-t-on (enfin) le développement du transport par train, ce qui détruirait beaucoup vite nos structures routières ?… Mais on a tellement négligé les infrastructures ferroviaires (elles aussi) qu’il y a là du travail à faire si on veut augmenter l’utilisation de ce moyen de transport…

Parallèlement à cela, je jasais hier avec un des nombreux entrepreneurs qui travaillent à l’Autoroute des Bleuets (route 175, parc des Laurentides) qui me confiait ses craintes à l’effet que, vu les récentes remises en question des appels d’offres concernant certains tronçons de cette autoroute en construction, il se pourrait que les reports prévus s’allongent encore, mais cette fois au profit de la réfection de certaines infrastructures (ponts et viaducs) récemment déclarées dangereuses ou à risque (plus ou moins élevé). Bref, un ou deux dossiers à suivre !

Pluie, soleil, murs, dépassements… Trop ?

Je refais surface dans mon blogue, après avoir passé plus de 2 heures collé à l’écran de télé en ce dimanche matin. Trois mots : Quel grand prix ! Impossible de tout dire ici.

Il sera très difficile de résumer en une heure cette course pour la présentation de Formule 1 Express à RDS… Il a fait beau, il a plu, parfois très abondamment (On dirait la météo de mon récent voyage de pêche dont on parlera plus tard ici), forçant les passages aux puits à qui mieux mieux pour changer et rechanger les pneus. À travers ça, des pilotes qui réussissaient à rester en piste et d’autres qui en sortaient, parfois à la file indienne en début de course au 3e tour. On a même vu une voiture frôler le tracteur parti dégager Lewis Hamilton qui est tout simplement reparti instantanément en piste.

Hamilton, après avoir violemment frappé un mur hier en qualif, a pu faire la course, et surtout la terminer, même s’il ne s’est pas inscrit au pointage (Quoique, ici, un tour ou deux de plus lui aurait permis de faire quand même un point : assez phénoménal quand même…)

Et que dire de Massa qui a dominé toute la partie “sèche” de la course, mais qui s’est fait coiffer à quelques tours de la fin par Alonso, avec un léger contact pendant le dépassement, contact qui s’est poursuivi en coulisses, juste avant que les gagnants montent sur le podium, où Massa affichait une mine vraiment sombre. Affrontement de tempéraments latins !

En terminant, la course au championnat demeure extrêmement serrée entre les deux pilotes Maclaren-Mercedes, qui sont suivis par les deux pilotes Ferrari, le 4e étant le malchanceux Raïkkonen qui a dû abandonner aujourd’hui (mais pourquoi ? on ne le sait pas encore…).

À venir, sur Variations sur thèmes

Photos de voyage…

Nous partirons bientôt pour une expédition sur la Péribonka (comme l’an passé). En espérant que Dame Nature soit aussi favorable qu’en juillet 2006 pour les prises de vues exceptionnelles.

Si je me branche quelque part (mon portable n’arrive qu’en août), peut-être aurai-je le temps pour un petit billet. Sinon, ça ira après l’expédition.

À bientôt !

En attendant, pour ceux qui sont passés par ici il y a quelques jours ou plus, voyez les photos de la Coupe du monde de St-Félicien ci-dessous.