Pendant qu’on discute du sens de Noël (voir ici), chez nous, c’est la maison qui a décidé de se payer (ou plutôt, de nous faire payer) un cadeau… Je préfère voir de cette façon une dépense assez substancielle (ces temps-ci), plutôt que de broyer du noir… budgétaire.
De toute façon, le fait que le four encastré (un Bélanger âgé de 32 ans!) lâche était prévu, mais au printemps seulement, le temps de digérer le fait que la plaque de cuisson (aussi âgée de 32 ans) ait lâché en début d’automne. Une maison sans four, c’est un peu difficile sur la cuisine, quoique le barbecue, la semaine passée, était aussi dégagé qu’en été, mais c’était la semaine passée…
Maintenant, ne reste qu’à attendre la semaine prochaine pour l’arrivée de la merveille et l’installation qui suivra, après avoir élargi l’ouverture pour accueillir ledit objet : ils sont plus larges que dans l’temps ! Ne reste aussi qu’à acquitter les 24 paiements sans frais… (On dira ce qu’on voudra, mais ça rend la pilule plus facile à avaler (et je ne parle pas de ces pilules-là !)
Une connaissance m’a dit qu’elle appelait ce renouvellement d’électro-ménager une sorte de “renouveau conjugal”…