Par rapport à ce que j’avais écrit le 10 septembre après le Grand prix de Monza, on a observé aujourd’hui exactement l’inverse. Schumacher qui voit son moteur sauter (chez Ferrari, c’est rare !) et Alonso qui file en première place, devançant son adversaire de 10 points pour le championnat des pilotes. Les probabilités que Schumacher revienne à égalité avec Alonso au dernier grand prix de la saison sont à peu près nulles, puisqu’il faudrait répéter la malchance Renault de Monza…
Mais, comme dirait l’autre : c’est pas fini tant que c’est pas fini. (Quelle “belle” phrase quand même 😉